account_circle
Register
menu
person
Premium Avatar
ចុះ​ឈ្មោះ​ចូល
Register
Pablo Andujar
3
7
6
0
0
Fernando Verdasco
6
63
4
0
0
Pablo Andujar
 
Fernando Verdasco
38
អាយុ
40
180cm
កម្ពស់
188cm
80kg
ទំ​ង​ន់
90kg
-
778
-
Past 6 months
-136
ប្រធាន​នាយក
3
ទាំងអស់
3
1
ការ​លំបាក
1
63 63check
17 ២ 2020
6 ១ 2020
check 64 63
63 67 61check
26 ៧ 2014
20 ៧ 2011
check 62 63
36 76 64check
25 ៣ 2011
15 ៦ 2009
check 63 75
Latest results
check
64 36 75
៣ 2011
clear
75 63
៣ 2011
clear
76 62
២ 2011
clear
61 60
២ 2011
check
64 57 62
២ 2011
clear
64 61
២ 2011
check
64 64
១ 2011
clear
61 62 76
១ 2011
៣ 2011
75 64
clear
២ 2011
64 36 76
clear
២ 2011
76 76
clear
២ 2011
64 64
check
២ 2011
64 64
check
២ 2011
75 75
check
២ 2011
63 62
check
១ 2011
64 62 63
clear
Latest flashs flash
Dimitrov en mode survivant à Rome ! Grigor Dimitrov vient de recoller, au terme d’un jeu décisif de folie, à une manche partout face à Taylor Fritz (2-6, 7-6 après près de 2h30 de jeu). Après une première manche où le Bulgare a trop mal commencé pour espérer quoi que ce soit, c’est au terme d’un bras de fer fou que le numéro 10 mondial a arraché un dernier set. Sauvant une balle de match, le joueur de 30 ans s’est complètement relancé et pourrait bien en profiter pour arracher son billet pour les quarts de finale. Auteur d’un très bon match, Fritz n’a pas grand chose à se reprocher. Très bon au service (9 aces), costaud sur les points importants (11 balles de break sauvées sur 11) et solide du fond du court (22 coups gagnants, 8 fautes directes), l’Américain délivre l’un de ses meilleurs matchs sur ocre. Dimitrov, de son côté, montre tous les progrès accomplis depuis une petite année. Malgré la frustration, il n’a jamais lâché l’affaire, restant dans son match et son heure est finalement venue. Un peu moins tranchant au service que l’Américain (7 doubles fautes) et commettant pas mal de fautes (22 fautes directes), c’est en restant très agressif (34 coups gagnants) qu’il a fini par arracher un dernier set. Reste à savoir lequel de ses excellents joueurs va réussir à s’imposer pour rejoindre les quarts de finale en Italie.
Insolite - Entre Fritz et Dimitrov, c’est un duel de superstitions On le sait, chaque joueur a ses petites habitudes pour rester au top sur le circuit. Face à l'exigence que représente une carrière de tennis professionnel, certains joueurs ont ainsi plaisir à se réfugier dans des comportements répétés. On pense naturellement à Rafael Nadal qui, lors de ses matchs, suit les mêmes routines depuis 20 ans. Cela dit, il n’est pas le seul. On peut par exemple citer Grigor Dimitrov puisque le Bulgare lit l’horoscope chaque matin ou encore Taylor Fritz qui a, semble-t-il, pris pour habitude de manger au même restaurant tous les soirs depuis son arrivée à Rome. C’est en tout cas ce qu’a laissé penser Morgan Riddle, la compagne du champion américain : “Le visage d’un homme qui nous oblige à dîner au même endroit tous les soirs parce qu’il devient superstitieux” (Instagram). Alors que les deux hommes vont s’affronter en huitième de finale, il ne reste plus qu’à savoir lequel de ces deux champions, très superstitieux, continuera sa route en Italie.
A Rome, Medvedev s’en sort, pas Rune ! L’hécatombe se poursuit en Italie. Après les forfaits de Jannik Sinner et Carlos Alcaraz, le tournoi a déjà eu à déplorer les éliminations de Casper Ruud, d’Andrey Rublev, de Novak Djokovic, de Rafael Nadal, de Ben Shelton et de Félix Auger-Aliassime. Ce lundi soir, c’est Daniil Medvedev et Holger Rune qui ont, à leur tour, tremblés. Holger Rune, en manque de confiance depuis des semaines, n’a pas su trouver la clef face à Sebastian Baez (2-6, 6-2, 6-3 en 1h48). Face à l’Argentin, 19e mondial et très à l’aise sur ocre, le Danois beaucoup trop fébrile prend déjà la porte en Italie. Auteur d’un excellent match (18 coups gagnants, 10 fautes directes), Baez réaffirme son statut de spécialiste du jeu sur ocre. Déjà titré à Rio de Janeiro et Santiago, le joueur d’1m70 se rassure après quelques tournois manqués (Monte-Carlo, Barcelone et Madrid). Daniil Medvedev, de son côté, a bien failli connaître le même destin que son bourreau de la finale 2023. Le Russe, tenant du titre, a en effet eu tout le mal du monde à se dépatouiller de Hamad Medjedovic (7-6, 2-6, 7-5 en 2h50). Malmené par un adversaire très opportuniste, le numéro 4 mondial a finalement utilisé toute son expérience pour se défaire d’un adversaire dangereux. Continuellement décrié pour son manque d’aisance sur ocre, le Russe réalise malgré tout une saison très honorable. Défendant son titre en Italie, il pourrait même profiter des contre-performances de ses rivaux habituels pour remporter Rome une deuxième fois. Pour une place en quarts de finale, Baez défiera ce lundi Hubert Hurkacz, tombeur de Nadal au deuxième tour. De son côté, Daniil Medvedev affrontera Tommy Paul (16e), très solide cette semaine.
Eliminée par Zhang, Osaka n’est pas encore satisfaite de son niveau de jeu : “C’est difficile d’être dans ce processus” Après plus d’un an d’absence, Naomi Osaka a fait son retour à la compétition cette année. Devenue mère en juillet 2023, l’ex numéro 1 mondiale continue sa montée en puissance. Enchaînant trois jolies victoires, Osaka a finalement calé face à Qinwen Zhang (6-4, 6-4). Interrogée sur sa belle semaine italienne, la quadruple vainqueure de Grand Chelem, peu à l’aise sur terre battue a cherché à positiver :  ”C’est une bonne semaine, mais c’est difficile d’être dans ce processus. J’ai hâte de revenir à mon meilleur niveau, mais je dois comprendre que ma fille n’a pas encore un an et que cela peut prendre du temps. J’apprendrai beaucoup de ce match contre une joueuse du top 10 comme Qinwen.” Prochaine étape pour Osaka : Roland-Garros.
Rétrospective #1 : Le jour où Federer remportait le seul tournoi sur terre battue bleue de l’histoire. C’était il y a tout juste 12 ans. Le 13 Mai 2012, Roger Federer avait remporté l’un des tournois les plus controversés de l’histoire du tennis. Depuis qu’il est passé sur ocre, en 2009, le Masters 1000 de Madrid occupe une place toute particulière dans le calendrier ATP. Désormais organisé à un mois du début de Roland-Garros, le tournoi est coché par la plupart des cadors du circuit. Cela dit, l'événement espagnol est également connu pour son originalité. Ion Tiriac, directeur du tournoi, a pris l’habitude d’innover afin d’attirer toujours plus. Après avoir fait construire le désormais mythique complexe de la Caja Magica, l’investisseur a fait des choix plus décriés. On notera bien sûr l’édition 2004 du tournoi où des mannequins avaient été embauchés pour ramasser les balles lors des matchs de soirée. Sans trop rentrer dans le détail, on peut simplement mentionner la réaction pour le moins surprenante d’André Agassi lorsqu’il avait été questionné sur ce choix : “ll était difficile, pour ne pas dire plus, de se concentrer sur la balle. Mais je suppose que j’avais un avantage. J’ai l’habitude de jouer avec ma femme (Steffi Graf). Mais les jupes ont l’air d’être un peu difficiles à porter pour courir. Je pense qu’elles devraient être plus courtes (sourire).” L’édition où le tournoi a réellement défié la chronique a eu lieu en 2012. Cette année-là, Madrid avait choqué le monde du tennis en modifiant la couleur de la surface de jeu. Abandonnant son oranger si caractéristique, la terre battue madrilène avait opté pour un bleu électrique. Justifiant ce choix plus que surprenant, Tiriac avait expliqué que ce changement avait pour objectif de permettre aux spectateurs et téléspectateurs de mieux voir la balle. Avant même le début du tournoi, cette innovation avait divisé les joueurs du circuit. En effet, n’ayant pas été consulté par l’ATP, la pilule avait du mal à passer pour certains. Si des joueurs comme Murray ou Tsonga, ont préféré attendre pour parler, d’autres avaient clairement fait savoir leur mécontentement. Le plus célèbre d’entre tous étant bien sûr le roi de la terre battue, Rafael Nadal. Avant le début du tournoi, il déclarait : “J’aime les changements quand ils apportent des progrès. Ce qui fait un grand tournoi, c’est l’histoire du tennis. Donc à mon avis, c’est une erreur. Les joueurs ne comptent pas, ils n’ont rien à y gagner. Une seule personne y gagne quelque chose : le propriétaire du tournoi.” Une fois le tournoi commencé, un problème, de taille, avait éclaté aux yeux de tous : l’ocre bleu était affreusement glissante. Malgré les critiques d’un bon nombre de joueurs, le tournoi, plus médiatisé que jamais, avait réussi son pari : attirer un très grand nombre de supporters. Cependant, les résultats de la semaine, très surprenants, ont vite jeté un froid sur l'enthousiasme de début de tournoi. En effet, Madrid perdait dès les huitièmes de finale son enfant chéri puisque Rafael Nadal (battu par Verdasco, 6-3, 3-6, 7-5). Le lendemain, Novak Djokovic, tenant du titre, se faisait éliminer par Janko Tipsarevic (7-6, 6-3). Très remontés contre l’organisation, les deux stars du tennis ne mâchaient pas leurs mots en conférence de presse. Ainsi, ‘Rafa’ prévenant le tournoi : “ Si les choses continuent comme ça, ce sera triste. Mais l’an prochain, il y aura un tournoi en moins dans mon calendrier.”. Du côté de Djokovic, l’écho était le même : "Je ne serai pas là en 2013 s’il y a encore cette terre battue. Le test a échoué.” Djokovic et Nadal éliminés, Federer avait, de son côté, parfaitement saisi sa chance. Se concentrant sur son tennis, le Suisse s’adaptait parfaitement à la surface pour s’imposer. Après un premier match très difficile face à Milos Raonic (victoire 4-6, 7-5, 7-6), Roger déroulait son tennis pour rejoindre la finale. Disposant coup sur coup de Gasquet (6-3, 6-2), de Ferrer (6-4, 6-4) et de Tipsarevic (6-2, 6-3), il rejoignait sans encombre la finale. Opposé à un Tomas Berdych très en confiance (le Tchèque n’ayant pas perdu un set du tournoi), l'irrésistible Suisse allait finalement s’en sortir après plus de 2h30 d’un combat très accroché (3-6, 7-5, 7-5). Questionné sur cette étrange surface, le champion se contentait de déclarer : "C’était dur de bien bouger sur cette surface, mais il faut s’adapter pour essayer d’en tirer le meilleur parti." Suite au tournoi, l’étau se resserrait autour de Tiriac. Avec les menaces de boycott de Djokovic et de Nadal, l’ATP avait les mains liées. Finalement, l’instance suprême du tennis a pris la décision d’interdire la terre battue bleue dès l’année suivante : “Quelle que soit la couleur, nous devons d’abord nous assurer que les courts sont sans risque et justes pour les joueurs.”. Ainsi, Madrid rentrait finalement dans le rang et, comme par magie, Nadal s’imposait dès l'année suivante.
video Latest video + all
04:21
ranking Top 5 ថ្ងៃ​អង្គារ 14
raquette67 1 raquette67 6ពិ​ន្ទុះ
leil44 2 leil44 6ពិ​ន្ទុះ
Hutchence97 3 Hutchence97 6ពិ​ន្ទុះ
حسین م 4 حسین م 6ពិ​ន្ទុះ
mhscjuve 5 mhscjuve 6ពិ​ន្ទុះ
Play the predictions
742 missing translations
Please help us to translate TennisTemple