Si si cha va Valou, t'inquiètes po, promis :p Ça ne va pas toujours, mais rien ne dure jamais éternellement, les jours de joies tout comme les jours tristes, mais les jours tristes ne durent jamais très longtemps avec moi ;)
Je vous avoue ne pas avoir été dans un très bon "mood" quand j'ai écris ça, sur le moment.. xD
(Et ce, malgré le regain et le sursaut d'espoir, de résistance, sur la fin, car je reste malgré tout une rêveuse dans l’âme, avant tout ^^ )
Mais c'est ce que j'adore faire, et de plus en plus, écrire mes émotions, écrire ce que je ressens au gré de mes humeurs. Et je peux tout à fait comprendre, que ça puisse ne pas toujours etre compris, ce qui me parait normal, car chacun ressent les choses singulièrement, mais malgré tout, les sentiments en général et le manque dont j'ai voulu parlé dans mon texte, nous le ressentons tous et toutes. Ça peut aussi être interprété comme étant une démarche un peu "égocentriste", le fait de toujours dire ce que l'on ressent, à l'intérieur de notre être, pour en faire part publiquement. Mais mon but est de me livrer à cœur ouvert, sans aucunes prétentions, je le fais car c'est la chose que je fais le mieux, et c'est pas non plus facile, mais j'aime l'intime, tout comme j'aime autant les joies, je trouve aussi de la beauté, de l'émotion dans la tristesse..
Merci beaucoup à tous les deux, toujours ravie que ça te plaise rf :)
Et Nathan, je suis en total accord avec tes réponses :)
C'est tout à fait ça..
le manque de la connaissance surtout est comme une aiguille qui s’enfonce dans le corps nous rappellant sans cesse qu’il est là. Et c’est ce qui est dur, c’est qu’on ne le controle pas, qu’on l’égalise parfois en le comblant ce qu’on appelle le bonheur, mais qu’on ne le dépasse jamais car il est comme une randonnée sans fin
Il revient, encore, toujours, il n'est jamais parti, il est là, en nous, nous rendant impuissants et en proie à ses flèches qui nous transpercent l’âme, impossible de lutter, seulement d'accepter le tragique.
Effectivement je crois profondément que le manque est en chacun de nous même si on ne le vois pas toujours pour la simple et bonne raison que chaque souvenir appartient au passé et que le passé ne subsite que dans notre mémoire. Il est dèrrière nous, nous rattrape et nous devance parfois mais n’est jamais là à l’instant t et on ne le revis jamais on le revisite.
Le manque, il est perfide, car il nous ronge et nous brise, sans nous mettre ko dès le premier round, ils nous confronte à une épreuve marathonienne, il nous consume
Le manque de l’amour, le manque de l’amitié, le manque de la connaissance surtout est comme une aiguille qui s’enfonce dans le corps nous rappellant sans cesse qu’il est là. Et c’est ce qui est dur, c’est qu’on ne le controle pas, qu’on l’égalise parfois en le comblant ce qu’on appelle le bonheur, mais qu’on ne le dépasse jamais car il est comme une randonnée sans fin : à chaque virage on s’apercoit qu’il y a encore quelque chose de plus mysterieux qui nous attend là bas.
(Et ce, malgré le regain et le sursaut d'espoir, de résistance, sur la fin, car je reste malgré tout une rêveuse dans l’âme, avant tout ^^ )
Mais c'est ce que j'adore faire, et de plus en plus, écrire mes émotions, écrire ce que je ressens au gré de mes humeurs. Et je peux tout à fait comprendre, que ça puisse ne pas toujours etre compris, ce qui me parait normal, car chacun ressent les choses singulièrement, mais malgré tout, les sentiments en général et le manque dont j'ai voulu parlé dans mon texte, nous le ressentons tous et toutes. Ça peut aussi être interprété comme étant une démarche un peu "égocentriste", le fait de toujours dire ce que l'on ressent, à l'intérieur de notre être, pour en faire part publiquement. Mais mon but est de me livrer à cœur ouvert, sans aucunes prétentions, je le fais car c'est la chose que je fais le mieux, et c'est pas non plus facile, mais j'aime l'intime, tout comme j'aime autant les joies, je trouve aussi de la beauté, de l'émotion dans la tristesse..
Merci beaucoup à tous les deux, toujours ravie que ça te plaise rf :)
Et Nathan, je suis en total accord avec tes réponses :)
C'est tout à fait ça..
le manque de la connaissance surtout est comme une aiguille qui s’enfonce dans le corps nous rappellant sans cesse qu’il est là. Et c’est ce qui est dur, c’est qu’on ne le controle pas, qu’on l’égalise parfois en le comblant ce qu’on appelle le bonheur, mais qu’on ne le dépasse jamais car il est comme une randonnée sans fin
Il revient, encore, toujours, il n'est jamais parti, il est là, en nous, nous rendant impuissants et en proie à ses flèches qui nous transpercent l’âme, impossible de lutter, seulement d'accepter le tragique.
Effectivement je crois profondément que le manque est en chacun de nous même si on ne le vois pas toujours pour la simple et bonne raison que chaque souvenir appartient au passé et que le passé ne subsite que dans notre mémoire. Il est dèrrière nous, nous rattrape et nous devance parfois mais n’est jamais là à l’instant t et on ne le revis jamais on le revisite.
Le manque, il est perfide, car il nous ronge et nous brise, sans nous mettre ko dès le premier round, ils nous confronte à une épreuve marathonienne, il nous consume
Le manque de l’amour, le manque de l’amitié, le manque de la connaissance surtout est comme une aiguille qui s’enfonce dans le corps nous rappellant sans cesse qu’il est là. Et c’est ce qui est dur, c’est qu’on ne le controle pas, qu’on l’égalise parfois en le comblant ce qu’on appelle le bonheur, mais qu’on ne le dépasse jamais car il est comme une randonnée sans fin : à chaque virage on s’apercoit qu’il y a encore quelque chose de plus mysterieux qui nous attend là bas.